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Rendez-vous sur le site www.mnpaf.fr et cliquez sur le bouton “espace adhérent”. Votre identifiant est votre adresse email ou votre numéro d’adhérent, ou vous pouvez cliquer sur le lien “identifiant oublié” pour le réinitialiser. Il en est de même pour votre mot de passe, réinitialisez-le en cliquant sur le lien “mot de passe oublié”.

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Environnement santé
fraude

La fraude,
c'est l'affaire de tous !

À chaque fois qu’un adhérent et/ou un professionnel de santé fraude, il porte atteinte à l’ensemble de la communauté des adhérents. Les actes frauduleux ont un impact sur les cotisations de tous. Il ne faut pas oublier que les remboursements santé effectués par la Mutuelle sont directement financés par les cotisations perçues.

Depuis quelques années, la Mutuelle enrichit son dispositif et ses moyens anti-fraude :

  • analyse des données,
  • recours à des conseillers spécialisés dans la lutte contre la fraude,
  • personnel dédié.

Ces actions permettent de détecter davantage de comportements et/ou de pratiques suspicieuses de consommation médicale : faux documents, surfacturation, surconsommation…
Les contrôles mis en place par la Mutuelle ont permis d’identifier plusieurs types de fraudes :

  • fausses factures,
  • faux décomptes Sécurité sociale,
  • fausses prescriptions, suite au vol d’un ordonnancier,
  • professionnels de santé complaisants et/ou poussant à la consommation.

Pour rappel, en cas de suspicion, la Mutuelle se réserve le droit de faire contrôler la réalité des actes par un expert de son choix.
Soucieuse de défendre notre modèle de mutualisation, pour chaque fraude détectée la Mutuelle dépose une plainte auprès du procureur de la République, qu’il s’agisse d’une fraude d’un professionnel de santé ou d’une fraude orchestrée par un ou plusieurs adhérents.

Nous effectuons des contrôles réguliers et nous pratiquons une tolérance zéro.

Les conséquences encourues par les fraudeurs sont les suivantes :

  • 3 à 5 ans d’emprisonnement et 45 000 à 375 000 € d’amende (art. 313-1 et 441-1 du Code pénal),
  • toute condamnation pénale faisant l’objet d’une inscription sur le casier judiciaire peut avoir des conséquences importantes sur la pérennisation de l’emploi occupé dans le secteur de l’aérien,
  • certains assurés sont poursuivis devant le tribunal correctionnel pour des faits d’escroquerie. Ils s’exposent, en plus d’une condamnation aux peines prévues par les articles 313-1 et 441-1 du Code pénal, à rembourser le montant des sommes fraudées mais aussi les frais engendrés par la Mutuelle pour faire valoir ses droits.

Vaccination du papillomavirus
étendue aux garçons

Depuis le 1er janvier 2021, les jeunes garçons peuvent se faire vacciner contre le papillomavirus.

La Haute Autorité de santé a étendu la recommandation de vaccination aux garçons car 25 % d’entre eux sont touchés par un cancer lié à l’infection par le papillomavirus humain. Le vaccin vise à freiner la transmission par infection sexuellement transmissible, il protège contre le cancer du col de l’utérus mais aussi notamment celui de l’anus.

Si la vaccination des jeunes est réalisée avant le début de leur vie sexuelle, la protection apportée par le vaccin est proche de 100 %.

Le préservatif n’assure pas une protection suffisante, les infections à l’HPV sont en effet transmissibles par simple contact au niveau des parties génitales, le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration.
Le vaccin contre l’infection à l’HPV est remboursé par l’Assurance maladie, sur prescription médicale, à 65 %. Les mutuelles interviennent pour compléter le remboursement. Dans certains centres de vaccination, la vaccination peut être gratuite.

papillomavirus

Déplacement pour vaccination
et remboursement

Afin de favoriser la vaccination contre la COVID-19, et dans l’attente de la vaccination au domicile des patients, la prise en charge des transports de personnes vers les centres de vaccination est autorisée de manière dérogatoire.

Le transport peut être pris en charge dans les conditions suivantes :

  • une prescription médicale doit être établie par le médecin avant le transport, lors de la consultation pré-vaccinale ou de toute autre consultation,
  • le transport aller et retour doit être réalisé en ambulance ou en transport assis professionnalisé en fonction de l’état d’incapacité ou de déficience du patient ; sont remboursés les trajets en ambulance, véhicule sanitaire léger (VSL) ou taxi,
  • le transport doit concerner un trajet vers le centre de vaccination le plus proche du lieu de prise en charge du patient.

Ce remboursement concerne uniquement les personnes éligibles à la vaccination en fonction des prérogatives du Gouvernement.